CitYTrip - On the Road!
Ce qu'il faut savoir sur un voyage pour New York depuis le Canada:
- Se déplacer en bus est toujours la solution la plus rapide (hormis l'avion mais bonjour le bilan carbone!). Vous serez à New York en seulement 8 heures de route en moyenne! Ah et aussi, étonnant mais le billet aller/retour est presque aussi cher qu'un aller (140$ environ). Donc il ne faut pas hésiter à revenir un jour.
- Pas besoin de papiers compliqués pour entrer sur les États-Unis (je pense notamment au formulaire qu'il faut compléter pour une arriver par avion). Les papiers sont à remplir à la douane, c'est à dire à la frontière Canada/USA. Ah et n'oubliez pas de payer le droit d'entrée... 6$ par personne! :)
Équipés de toutes ces informations, j'avais réservé en ligne nos billets de bus sur la compagnie Greyhound. En gros, ce sont les moins chers et pas forcement les pires.
On a fait le choix de partir très tard de Montréal (9h00 du soir) pour arriver tôt à NewYork. C'est pas mal, mais prenez vraiment de quoi survivre dans le bus (couvertures/oreillers...) parce-que la nuit fût très dure! En plus, n'oubliez pas que le bus fait très souvent des pauses (pour récupérer d'autres passagers, ou tout simplement à la frontière pour passer la douane).
La douane d'ailleurs... Soyez tout de même suffisamment réveillés pour ne pas bafouiller face aux questions du douanier. Et oui, pas facile le contrôle du passeport à minuit. "I'm here to visit NewYork for four days". A répéter pour ne pas gaffer!
Bien sûr, il y a aussi le fameux papier vert à remplir.
source: pvtistes.net |
Pas forcément évident le QCM en pleine nuit!
Suite à cet examen, on vous donne le droit de rester sur le sol des USA pour visiter.
Cela prend la forme d'un papier vert (encore un!) que l'on agrafe dans votre passeport.
Jeanne-Claire et moi sommes les derniers à passer, comme ça on a encore plus le stress d'échouer au contrôle. Mais ça va, le douanier nous souris et nous sert la réplique tant attendue:
"Welcome to the United States!"
Autant dire que Jeanne-Claire et moi on plane, parce-qu’on réalise pas trop ce qui nous arrive... Mais bon, on est excusés, il est tard, et on fatigue!
Et hop, c'est reparti pour le bus, il ne nous reste plus qu'à chercher en vain le sommeil jusqu'à la ville qui ne dort jamais. Au moins comme ça, on est plusieurs à ne pas dormir.
Récit de la soirée du lundi 6 juillet